
Je viens vous parler aujourd’hui de celui qui baptise les objets, j’ai nommé Thomas Fersen. J’ai souvent l’habitude de présenter la bête (où plutôt son bestiaire) en disant qu’il faut franchir la porte de son univers. Lui, il vous attend à la porte tel Saint Pierre aux portes du paradis, car dès que l’on franchit le seuil de sa porte, c’est le paradis. Dans son nouvel opus, « trois petits tours », il refait ses valises et nous emmène vagabonder. Car il en est question de valises dans cet album. D’abord Germaine, sa valise rayée...
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